REVUE | JOKER GAME
OnJoker Game : Détail de mon ressenti par épisode (1er visionnage) / ⚠︎ SPOILER
1er épisode
Il en jette; il est très accrocheur. Ça promet du twist et ça tease. Tu as un exemple du Joker Game, avec une mise en situation qui fait transpirer.
2ème épisode
C’est la suite et fin du premier : un peu plus doux mais reste prometteur pour la suite de la série.
3ème épisode
Avec Hatano : c’est un bon épisode, bien scripté, bien raconté, bonne action, du suspense, de la trahison. Mais tu te dis : c’est qui ce mec, c’est l’un des espions? Qu’est-ce qu’il fout là? On est quand? C’est quoi le rapport avec le précédent? Hatano, dans cet épisode, porte des lunettes, une casquette, un bandage donc j’ai eu un peu de mal à faire le lien.
4ème épisode
Avec Fukumoto : trop de gens! Entre l’espion, le faux-journaliste (d’ailleurs, il me semble que ces deux-là sont la même personne), les mecs de l’armée, le flic, les traitres… Rien compris. Et je ne vois pas de rapport avec les épisodes précédents. À ce moment, tu te dis: « aaaaaah, ok. Comme annoncé dans l’introduction, les gars de la D-Agency sont entrainés puis envoyés partout dans le monde pour servir leur pays”. Donc en gros, tu commences à capter que désormais, chaque épisode concernera un personnage qui fait sa petite mission, pépère. Vis ma vie d’espion, en gros.
5ème épisode
Avec Kaminaga : celui-là, il était vraiment cool, le sujet, le contexte, l’environnement, l’intrigue… Cet épisode confirme bien le caractère épisodique de la série : aucun épisode n’est lié avec l’autre. Du coup, t’as 20 minutes pour parler d’un gars qui fait quelque chose. Le temps que tu captes qui c’est, l’année, le pays où il se trouve, le contexte géopolitique, la nature de la mission, t’es déjà à 5 minutes de la fin.
6ème épisode
Avec Tazaki je crois : une fois l’épisode fini, j’ai passé 30 minutes sur le web à faire des recherches sur la série, pour comprendre de quoi ça parle et surtout QUI EST QUI… J’ai passé du temps sur google images ainsi que sur des forums pour un peu mieux situer chaque personnage.
Regarder leur nom en kanji permet également de visualiser. Ça fait un peu « j’me la raconte, je connais quelques kanji » mais mine de rien, c’est très pratique quand il faut éviter de mixer Kaminaga et Fukumoto ou Amari et Tazaki (j’avais tendance à faire du Fukunaga et Amazaki).
En revanche, l’utilité de savoir comment chaque personnage s’appelle est discutable : concrètement, on te donne leur nom une fois, dans le premier épisode, en te précisant bien que ce n’est pas leur vraie identité de toute façon. Puis dans chaque épisode, ils vont s’appeler un truc qui n’a rien à voir donc pourquoi se faire chier? J’ai malgré tout quelques surnoms/moyens mnémotechniques de les différencier :
◻︎◻︎◼︎ Kaminaga : pas vraiment de surnom. J’avais tendance à dire “Fukunaga” ou “Kise-Kun” (car doublé par le seiyuu de Kise dans Kuroko No Basuke).
◻︎◻︎◼︎ Tazaki : je ne l’appelais pas, je crois que je ne l’ai même pas calculé. Quand est venu l’épisode le concernant (très intéressant au passage), je me suis dit: « il sort d’où, lui? il était là au début? ».
◻︎◻︎◼︎ Miyoshi : “M. Tautologie”. Mais je l’ai vite appelé Miyoshi parce qu’il sort du lot. Tu sens que lui, c’est un no-joke, un « bad boy »… Avec son petit sourire en coin un peu sadique.
◻︎◻︎◼︎ Hatano : “le mec aux yeux qui tombent”, “Droopy” ou “le sale gosse”, c’est selon. “Sale gosse” dans le sens petit mec espiègle et plein de ressources.
◻︎◻︎◼︎ Amari : “le mec à la bouche en barquette de Lu“.
◻︎◻︎◼︎ Jitsui : pas de surnom, hormis peut-être “le-gars-qui-ressemble-au-gars-aux-yeux-tombant”.
◻︎◻︎◼︎ Odagiri : étant doublé par l’un de mes seiyuu préféré, j’ai vite assimilé son nom.
◻︎◻︎◼︎ Fukumoto : je l’ai pas calculé sauf quand, après mon heure de recherche, j’ai su qu’il était doublé par Kazuya Nakai, autre seiyuu préféré. Je m’en suis voulu de ne pas avoir tilté sur sa voix, si distinctive pourtant.
◻︎◻︎◼︎ Sakuma : “Le beau gosse” ou “Sakumaaaaa” (voix de fan de Justin Bieber). Tout le monde semble séduit par Miyoshi mais moi je préfère Sakume, eheh.
◻︎◻︎◼︎ Yūki : Yūki. J’ai vite intégré son nom car il est la pièce maitresse.
7ème épisode
Avec Amari : comme les précédents, c’est à dire un mec/une mission/pas de lien avec l’épisode précédent.
8, 9, 10ème épisodes
Un peu comme les précédents. Tu sens vers l’épisode 9, avec l’agence d’espionnage concurrente, qu’il peut (enfin!) se passer quelque chose dans cette série, qu’il y a un fond, une trame. Mais je déplore la présence en filigrane de Jitsui.
Par ailleurs, comme on approchait de la fin, je me suis dit « ah, ils réservent Miyoshi pour les derniers épisodes, là où ils vont envoyer du lourd».
11ème épisode
C’est le tour de Miyoshi. J’avais beaucoup d’attentes, je me suis dit qu’ils allaient envoyer la sauce, que ça allait être la tuerie du siècle…
Alors, le mec, il doit avoir 30 sec de présence en cumulé dont 28 inconscient sur un lit. Et pour couronner le tout, il meurt. Ouais, M. Tautologie, le bad boy de Marseilles est celui qui meurt en un clin d’oeil. En même temps, il est allongé sur un lit, tout beau tout frais… Et à ce que j’ai cru comprendre, le corps humain se décompose assez vite et pas de la manière la plus sexy… Donc est-il vraiment mort? Ha!
En tout cas, je sens que ce n’est pas l’épisode 12, dernier de la série, qui va lever mon doute et répondre à mes interrogations.
12ème épisode
Un wrap up, où tu les vois tous ensemble, Miyoshi inclus. J’aurais voulu ce genre d’épisode en 3eme et 4eme position, histoire qu’on soit plus habitué aux personnages, à les voir en groupe avant qu’ils soient dispatchés aux 4 coins du globe.
Pour conclure, le Joker Game que j’aurais voulu :
1, 2 : épisodes 1, 2
3 : épisodes 12
4 à 10 : épisodes du même type que l’épisode 12, où on en apprend un peu plus sur le passé et la personnalité des membres de la D-Agency
11 à 18 : les missions de chaque membre
19 à 23 : épisodes plus centré sur Yuuki, à l’image des épisodes 8, 9 et 10. Compétition entre la D agency et l’autre agence. Réappartition de Sakuma.
24 : épisode 11
25 : Un autre truc
Voilà tout! Sur ce, à bientôt.
Chrys Prolls
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